On fait le point sur la nouvelle réglementation de la facturation électronique.
Si vous pensiez que la révolution numérique s’arrêtait à la dématérialisation de vos tickets de caisse, spoiler : la facturation électronique arrive à grands pas, et cette fois, c’est pour tout le monde. Enfin… pour toutes les entreprises françaises, en tout cas. Et quand on dit « facturation électronique », on ne parle pas d’un petit PDF sympa qu’on glisse dans un mail façon pièce jointe furtive. Non non. On parle d’un changement structurel majeur, avec des implications fiscales, techniques, organisationnelles… et même un peu émotionnelles pour certains. Mais pas de panique : on vous explique tout ça sans tourner autour du pot. Et surtout, on vous montre comment Dynamips & EBP vous accompagnent pour franchir le cap avec le sourire (et la conformité).
Que dit la loi sur la réforme de la facturation électronique ?
La réforme de la facturation électronique, c’est d’abord une réponse aux enjeux de lutte contre la fraude à la TVA, de simplification des déclarations, et de transparence entre entreprises. Traduction : tout le monde devra émettre, transmettre et recevoir des factures électroniques dans un format structuré, via des plateformes habilitées.
À partir de 2026 (et jusqu’en 2027 selon la taille de votre structure), la facture papier ou PDF simple ne sera plus considérée comme conforme dans les échanges B2B. Et pour que votre facture soit valide, elle devra contenir des données obligatoires précises, être transmise dans un format structurant (UBL, CII, Factur-X), et passer par le portail public Chorus Pro ou une plateforme certifiée.
Pourquoi ce n’est pas juste une contrainte (mais une vraie opportunité)
On vous voit venir : « Encore une réforme », « Encore des frais », « Encore du temps à bloquer ». Et pourtant, la facturation électronique peut vraiment simplifier votre quotidien, si elle est bien gérée.
Elle permet de réduire les délais de traitement, d’éviter les erreurs de ressaisie, de sécuriser les données et de fluidifier la relation client/fournisseur. Ensuite, elle ouvre la porte à une automatisation intelligente des process : rapprochement automatique, intégration comptable directe, reporting plus fiable…
Et entre nous, c’est aussi l’occasion idéale de faire un ménage de printemps dans vos pratiques de facturation. Finis les doublons, les oublis de TVA, les scans de factures floues envoyés à 22h un vendredi soir.
Les étapes pour se préparer aux nouvelles règles de la facturation électronique, sans stress
Vous pouvez structurer votre préparation autour des actions suivantes :
- Réaliser un audit de votre processus actuel d’émission de factures : outil utilisé, format, mode d’envoi, interlocuteurs.
- Choisir une solution certifiée conforme aux nouvelles obligations (les logiciels EBP sont déjà compatibles).
- Mettre en place un flux de transmission électronique structuré (UBL, CII, Factur-X).
- Former les équipes aux changements : nouvelles données à saisir, nouvelles obligations, cas particuliers.
- Connecter votre système à une plateforme de dématérialisation (Chorus Pro ou PDP).
Et si à ce stade vous avez l’impression de lire un tutoriel pour construire une fusée, rassurez-vous : c’est exactement pour ça que Dynamips est là.
EBP + Dynamips = combo gagnant pour votre facture électronique
EBP, éditeur français bien connu des PME, propose des logiciels de gestion déjà compatibles avec les exigences de la réforme. Modules comptabilité, gestion commerciale, bâtiment, point de vente… tous intègrent progressivement les briques nécessaires à l’envoi structuré des données fiscales. Et côté Dynamips, on ne se contente pas de cliquer sur « installer la mise à jour ». Nos équipes vous accompagnent du cadrage à la formation, en passant par la configuration, la mise en relation avec une PDP, et le suivi post-projet. Vous bénéficiez d’un audit personnalisé, d’un accompagnement sur-mesure, de formations pratiques (certifiées Qualiopi), et d’un support illimité. Autrement dit : vous ne serez jamais seuls face à un message d’erreur obscur.
Ce que vous risquez à ne rien faire ? (spoiler : pas grand-chose de drôle)
En 2026, si vous n’êtes pas prêt, vous ne pourrez tout simplement plus facturer vos clients B2B en toute légalité. Vos paiements seront retardés, vos relations clients seront tendues, et vos obligations fiscales ne seront plus respectées. Sans compter que l’administration n’est jamais très fan des entreprises qui prennent les réformes à la légère. Et que personne n’a envie de recevoir une relance de la DGFiP, même bien rédigée.
Vous avez encore quelques mois pour vous mettre en conformité. Mais ce n’est pas une raison pour attendre le dernier moment. Car plus vous anticipez, plus la transition sera fluide, et moins elle vous coûtera (en temps, en stress, et en rectifications). Et entre nous, si vous vous équipez bien aujourd’hui, vous pourrez transformer cette contrainte réglementaire en vrai levier de modernisation. Qui aurait cru qu’on finirait un article sur la facturation par un sourire ?