Les DynaPortraits sont une occasion de découvrir les Mipsiens, sous un nouveau jour !   

 

florian fruchet

 

Dyna : Salut Florian ! Ça fait combien de temps maintenant que tu es chez Dynamips ? 

Florian Fruchet : Je suis arrivé en mars 2002, donc ça fait 23 ans cette année. 

Dyna : Raconte-nous comment ça s’est fait. 

Florian Fruchet : J’étais en école de commerce et je cherchais un stage de fin d’études. Un de mes profs connaissait Pierre Voillet (le frère d’Antoine, le PDG), qui m’a envoyé chez Oceanet Technologies-Dynamips. À l’époque, on était une trentaine. J’ai débarqué en stage marketing avec une responsable de communication… qui est partie le jour même ! J’ai dû apprendre sur le tas. Heureusement, Pierre m’a dit : « T’inquiète pas, on a plein de trucs à te faire faire. » Et finalement, ils m’ont embauché après mon stage…  

Dyna : Tu as commencé comme commercial, c’est bien ça ? 

Florian Fruchet : Oui, à l’époque, on était une seule agence à Saint-Herblain, et mon secteur couvrait un bout de 44 et la Vendée. Mais très vite, l’idée d’ouvrir une agence à La Roche-sur-Yon a germé. En février 2005, c’était fait : la première agence Dynamips hors du siège ouvrait ses portes. 

Dyna : Et tu en es devenu le directeur d’agence ? 

Florian Fruchet : « Directeur d’agence », c’était un titre un peu flatteur au début. En vrai, j’étais seul dans 80 m² avec mon bureau et mes chaises (rires). Mais très vite, on a recruté une équipe, et l’agence a grandi. Quand Rennes et Angers ont ouvert, j’étais déjà bien ancré sur La Roche. Mais on partageait nos expériences entre nous pour aider les nouvelles agences à se structurer. 

 

florian fruchet

De gauche à droite : Arnaud Delmasse, Pierre Voillet, Florian Fruchet et Antoine Voillet à l’ouverture de l’agence Dynamips Vendée.

 

Dyna : À quel moment ton rôle a commencé à évoluer vers des missions plus transversales ? 

Florian Fruchet : En 2015, avec Arnaud et Antoine, on a décidé d’aller plus loin : on a posé les bases pour structurer le groupe Dynamips. C’est à ce moment-là qu’on a lancé le COMEX et commencé à travailler sur une vision plus globale de l’entreprise. 

Dyna : Ça impliquait quoi concrètement ? 

Florian Fruchet : Passer d’une gestion locale à une dynamique de groupe. Il fallait organiser la gouvernance, structurer les services, et préparer Dynamips à grandir sans perdre son ADN. Petit à petit, j’ai pris du recul sur la direction de l’agence de Vendée, que j’ai confiée à Emerick après un passage de relais progressif. 

Dyna : Aujourd’hui, comment résumerais-tu ton rôle ? 

Florian Fruchet : Je porte plusieurs casquettes. D’un côté, j’accompagne les directeurs d’agence et les équipes commerciales pour assurer une cohérence et une dynamique commune. De l’autre, je m’occupe de l’IT interne avec une super équipe (DSI, RSSI, admin système…). Mon objectif, c’est que nos outils et notre organisation soutiennent la stratégie de Dynamips. 

Dyna : Ça doit faire des journées bien remplies ! 

Florian Fruchet : Ah ça… Mon agenda, c’est une mosaïque. Je peux enchaîner une réunion sur la stratégie commerciale, une autre sur l’IT, puis un point avec le marketing. Mais j’adore cette diversité ! 

Dyna : Si tu devais résumer en une phrase la direction que doit prendre Dynamips, ce serait quoi ? 

Florian Fruchet : Rester une entreprise à taille humaine, proche de ses clients et de ses territoires, même en grandissant. L’objectif, ce n’est pas d’être une énorme ESN déshumanisée, mais de garder cette proximité avec nos clients PME et ETI. 

Dyna : Et à titre personnel, comment vois-tu ton évolution dans les prochaines années ? 

Florian Fruchet : Je sais que mon rôle va encore évoluer. Aujourd’hui, j’accompagne les directeurs d’agence et je structure l’IT interne, mais demain, il faudra sans doute repenser l’animation du réseau Dynamips pour qu’on continue à grandir sans perdre en efficacité. C’est un défi passionnant. 

Dyna : En dehors de Dynamips, tu es très engagé dans le monde associatif, notamment dans le sport. Pourquoi ? 

Florian Fruchet : J’ai toujours été impliqué. À 14 ans, j’étais déjà président du foyer des jeunes ! Aujourd’hui, je m’investis dans un club de sport, surtout dans la structuration et l’organisation. C’est un parallèle avec mon travail : j’aime voir une structure bien organisée qui permet aux gens de s’épanouir. 

Dyna : Le sport et le management, même combat ? 

Florian Fruchet : Complètement. Une réunion commerciale et un briefing dans un vestiaire de foot, c’est la même chose : on motive, on aligne tout le monde vers un objectif, et on avance ensemble. 

Dyna : Quel est ton meilleur souvenir chez Dynamips ? 

Florian Fruchet : Le séminaire à Opio, dans le sud. On a passé trois jours ensemble, déconnectés, on a même fait une chasse au trésor à Cannes… C’était dépaysant et ça nous avait vraiment permis de nous retrouver. Finalement, le plus important, c’est d’avoir l’occasion de voir les gens dans un autre contexte que le bureau. 

Dyna : Dernière question cruciale : qui est le meilleur footeux entre toi et Emerick ? 

Florian Fruchet : Ah, lui, sans hésitation ! Même avec un genou en moins, il est meilleur que moi.